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Corine, Alain, Jean et Eric vous souhaitent la bienvenue sur le Blog de la section syndicale du Centre Régional de Formation et de Perfectionnement des Organismes de Sécurité Sociale du Sud Est et de la Corse.

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Crfp13-CGT

Tous ensemble mobilisons-nous pour la RECONQUÊTE de la PROTECTION SOCIALE et pour un GRAND SERVICE P

L’Union départementale CGT s’inscrit pleinement dans l’appel commun des Fédérations CGT des Organismes sociaux et Santé/Action Sociale à faire du 29 mars une grande journée d’action face aux attaques sans précédent contre notre système de protection sociale solidaire et notre système de santé et d’action sociale.

Les salariés de ce secteur sont appelés à faire grève et à manifester dans toutes les régions.

Le gouvernement aux ordres des agences de notation, des marchés financiers et du patronat procède à un véritable détricotage de tous nos acquis sociaux issus du programme du conseil national de la résistance.

Nous ne laisserons pas détruire cet édifice arraché au fil des luttes depuis plus d’un siècle !

Notre pays est malade ! Non pas d’une épidémie passagère, mais d’une pathologie dangereuse et persistante : la recherche constante par le patronat du profit maximum.

Tous les secteurs sont attaqués.

- Dans la sécurité Sociale, à Pôle Emploi, les groupes de protections sociales on restructure, on fusionne, on supprime massivement des emplois, on ferme les guichets de CPCAM, CAF, CNAV...
- Dans l’aide à domicile, on précarise encore plus les salariés. -Dans la mutualité, on licencie, on ferme les centres de santé.
- Dans la santé et dans l’action sociale, le gouvernement poursuit sa politique de casse et démantèlement : Des heures d’attentes aux urgences, le déremboursement des produits pharmaceutiques,les taxations des Mutuelles, les franchises médicales, les fermetures des maternités de proximité, l’absence de prise en charge et de suivi des pathologies psychiatriques, la marchandisation de la prise en charge des personnes âgées, les regroupements de coopération sanitaire public/privé, les partenariats public/privé favorisant le privé lucratif au détriment du public, les fermetures de services et d’hôpitaux de proximité…

Depuis que le gouvernement et le patronat se sont entendus pour mettre en place une politique de « rentabilité du soin », faire de la maladie, du handicap ou de la personne âgée des marchandises rentables, la précarité de l’emploi n’a cessé d’augmenter. Les recettes de la sécurité sociale ont été détournées au profit des trusts pharmaceutiques du secteur assurantiel et bancaire.

Une prise en charge de la santé à 2 vitesses, celle des riches et celle des pauvres, s’accentue dangereusement. Les diagnostics régionaux démontrent des carences et des inégalités criantes, voire alarmantes pour la population. Les déserts médicaux se font de plus en plus nombreux…

Mais l’agence régionale de santé (bras armé du gouvernement) reste inflexible et préconise le recours aux cliniques privées ! Cela doit cesser !!

La poursuite des réductions d’effectifs dans tous les secteurs de la Protection sociale, de la santé et de l’action sociale, le démantèlement des conventions collectives (51 et 66) des secteurs sanitaires et médico-social va amplifier la casse de la santé et de la protection sociale.

On assiste à une dégradation des conditions de travail, et du service rendu aux assurés sociaux. Les besoins des populations ne sont plus pris en compte.

Sous couvert de crise, le patronat et le gouvernement veulent faire main basse sur le budget de la protection sociale supérieur à celui de la nation ! La mise en place de la TVA anti-sociale constitue un véritable hold-up en transférant sur les assurés sociaux ce qui doit relever des cotisations sociales.

Ni CSG, ni « TVA sociale » ne constituent des moyens de financer la protection sociale : dans les pays où l’impôt a remplacé les cotisations la protection sociale a disparu !

Contrairement au discours du patronat et du gouvernement, les cotisations ne sont pas des « charges insupportables » mais sont le gage d’une couverture sociale égalitaire et solidaire basée sur la création des richesses produites par le travail et les travailleurs : la « TVA sociale » en brisant le lien travail et financement de la protection sociale casse le salaire socialisé : salaire différé, contrepartie directe du travail effectué et salaire socialisé car réparti sur l’ensemble de la population solidairement selon les besoins. « Chacun paye selon ses moyens et reçoit selon ses besoins ».

Car si l’impôt (CSG – TVA sociale) venait à remplacer les cotisations, qui financerait alors l’assurance maladie, les prestations familiales, les retraites, les indemnités chômage, les politiques d’action sociale ? Nul doute, que le gouvernement utilisera se prétexte pour réduire les prestations.

La CGT condamne toute fiscalisation du financement de la protection sociale.

La Protection sociale ne souffre pas de trop de dépenses, mais d’insuffisances de recettes !

Loin d’être un coût, la protection sociale est une richesse facteur de croissance économique et de développement ! C’est d’une autre politique, adossée à un véritable service public et à d’autres choix de société dont nous avons besoin englobant tous les pans de la protection sociale.

- Le droit à la santé pour tous dans la proximité et la qualité
- Le droit à la sécurité sociale
- Le droit à la maternité, à l’éducation des jeunes enfants, au logement
- Le droit de vivre sa vieillesse dignement
- Le droit à l’emploi
- Le droit à un grand service public de santé et d’action sociale concourant à l’accès aux soins, au droit à l’autonomie, à la cohésion sociale, à la protection des plus faibles et des plus démunis.

Pour cela, il est nécessaire d’agir sur tous les leviers qui contribuent au financement et au développement de la protection sociale.

- Abandon des projets de TVA sociale et de fusion CSG/Impôts sur le revenu
- Augmentation des salaires, des retraites, des minima sociaux
- Suppression des exonérations des cotisations sociales et patronales
- Recouvrement des dettes patronales et gouvernementales
- Arrêt des suppressions d’emplois et des licenciements
- Taxation des revenus financiers et développement d’une politique favorisant les investissements créateurs d’emplois
- Suppression du secteur « marchand » de la santé et de l’action sociale.

Pour la reconquête de la Protection Sociale et pour un Grand Service Public de santé et d’Action Sociale

Jeudi 29 MARS 2012

AGISSONS TOUS ENSEMBLE ! Rassemblement à 10H30 Devant l’Agence régionale de Santé 132 Boulevard de Paris 13003 Marseille

Jeudi 29 mars constitue un temps fort de lutte pour exiger d’autres choix de société. Le 10 avril 2012, le TGI se prononcera dans le dossier du Grand Conseil de la Mutualité, sur la poursuite ou non de la période d’observation laissant planer une lourde menace sur l’emploi et le droit à la santé pour tous !

L’Union Départementale CGT 13 a décidé au-delà de la journée nationale d’action du 29 mars de poursuivre la mobilisation en participant à toutes initiatives pour exiger le maintien de 1200 emplois et de l’ensemble des œuvres mutualistes de notre département.

Aussi, le 31 mars soyons nombreux à se rassembler de 10 h à 12 h devant les centres de santé mutualistes et la Clinique de Bonneveine.

 

Non au Front National : la CGT met en garde contre l’imposture sociale

La crise financière du capitalisme touche durement les salariés, les retraités, les demandeurs d’emplois, alors qu’ils ne sont en rien responsables. Cette crise menace l’avenir des jeunes, des plus fragiles, met à mal le vivre ensemble et les solidarités ; elle accroit les inégalités, la précarité, l’insécurité sociale, la pauvreté et l’exclusion. A rebours des attentes des salariés, le gouvernement n’a eu de cesse d’accentuer les injustices sociales par le biais de multiples cadeaux fiscaux aux plus riches et au patronat…Ce pouvoir a méprisé le dialogue social, comme lors des exceptionnelles mobilisations sur les retraites, organisé la mise en concurrence des salariés, l’opposition entre français et immigrés et porte ainsi une lourde responsabilité dans l’affaiblissement des valeurs de solidarité. Cette attitude a contribué à la montée des intentions de vote pour la candidate du Front National à un niveau préoccupant…

La colère des salariés est justifiée, mais elle ne doit pas être manipulée !!!

Salariés, Oui nous sommes en colère ! Nos entreprises ferment, nous imposent du chômage partiel, nos salaires sont trop faibles et ne suffisent pas à faire face au coût de la vie, nos droits en matière de retraite, de santé, de logement, diminuent…

Face à cette situation, Marine Le Pen investit fortement le terrain social. Le FN mène une offensive d’ampleur par un discours prétendument social pour attirer vers lui grand nombre de salariés qui attendent que l’on réponde à leurs espoirs, pourtant dans le programme économique du FN les patrons gardent leurs privilèges. Afin de relancer l’industrie française, Marine Le Pen propose de faire appel à des bénévoles parmi les chômeurs ! La prospérité des entreprises ne serait garantie que par des baisses d’impôts et de charges dont les salariés seront les premières victimes.

En ce qui concerne la dette publique, le FN dénonce la fraude sociale et les immigrés. En revanche, rien sur les entreprises responsables de 80% de la fraude sociale. Rien non plus sur les 30 milliards annuels d’exonérations de cotisations accordés au patronat quand, dans un même temps, il ne mentionne pas l’augmentation des salaires, du smic, rien non plus sur l’égalité salariale homme-femme.

Le FN tente de détourner la colère ! Car qui licencie ? Qui délocalise ? Qui touche des stock-options ? Qui installe la précarité ? Ce ne sont pas les travailleurs immigrés, ce ne sont pas ceux qui, comme l’ensemble des salariés, subissent les inégalités d’un système défendu par le FN.

Sur les retraites !!!!!

Le FN ignore la revendication de l’âge légal de départ à 60 ans.

Son programme entend supprimer la notion d’âge légal à 60 ans et n’ouvrir le droit à la retraite que sur le seul critère du nombre d’annuités cotisées pour une retraite à taux plein. De plus, pour la pénibilité, il renvoie à des négociations de branche, créant ainsi de fortes inégalités.

Et souvenons-nous qu’en 2010, Marine Le Pen traitait les manifestants d’émeutiers !!!!

FN ou F Haine ? Le FN prône le concept de « préférence nationale ». Ce concept, profondément raciste et xénophobe, crée des différences entre les salariés et est contraire aux fondements et aux valeurs de la CGT qui agit contre les discriminations de toute sortes, le racisme, la xénophobie et toutes les exclusions… La CGT œuvre au rassemblement de tous les salariés dans leur diversité et réaffirme que le FN n’est pas un parti comme les autres. Non, le FN ne défend pas l’intérêt des salariés. Au contraire il tente de les diviser en continuant à privilégier ceux qui sont responsables de la situation.

Le 21 Mars est la journée internationale contre le racisme. La CGT a voulu profiter de cette occasion pour rappeler à tous le vrai visage du Front National et l’extrême danger pour les salariés de voter pour un tel parti de Haine.

 

Les 10 exigences de la CGT

 

Faut-il faire confiance au gouvernement et au Medef, ou se mobiliser ? Chômage, pouvoir d’achat, logement, santé nécessitent des réponses immédiates

La CGT propose de traduire avec les salariés les dix exigences détaillées ci-dessous en revendications justes, précises, portées par tous, dans chaque entreprise, pour obtenir des résultats concrets : le seul risque que l’on prend en se mobilisant c’est éventuellement d’être entendu !

1. Revaloriser les salaires, les pensions et les minima sociaux

- Dans le privé, ouverture des négociations annuelles obligatoires par anticipation sur 2012 ;
- dans le public rouvrir la négociation salariale ;
- porter le Smic à 1 700 euros brut par mois ;
- résorber les inégalités de traitement entre les femmes et les hommes.

1 salarié sur 2 gagne moins de 1 500 euros par mois ; l’écart salarial demeure de 25 % entre les hommes et les femmes ; 8,2 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté avec moins de 954 euros par mois et la moitié avec moins de 773 euros ; les salaires ont eu la plus faible progression les dix dernières années ; pour la première fois depuis 1945, la masse des salaires versés en 2009 dans le privé a été inférieure à celle de 2008.

2. Contrôler les aides publiques aux entreprises

- Respect des critères de création d’emplois ;
- conditionner aux politiques salariales ;
- donner des moyens d’intervention aux représentants des salariés sur le bien fondé et l’usage de ces aides.

Montant des exonérations fiscales et sociales et autres aides publiques aux entreprises : 170 milliards d’euros = 9 millions de Smic annuels (cotisations sociales comprises).

3. Contraindre les entreprises à des alternatives aux licenciements

- Majorer les cotisations chômage employeur sur les emplois précaires ;
- élargir l’assiette des cotisations et contributions sociales aux primes, stock-options, intéressement. (1,3 milliard d’euros de recettes) ;
- élargir les pouvoirs d’intervention des salariés et de leurs représentants dans leur entreprise, leur groupe, voire leur filière d’activité ;
- reconnaitre la pénibilité des métiers ouvrant droit à un départ anticipé en retraite.

Le système d’indemnisation du chômage ne bénéficie qu’à moins d’un chômeur sur deux. Le chômage des plus de 50 ans touche 810 000 personnes, soit 300 000 de plus qu’en 2008. Mesure spécifique pour les chômeurs en fin de droits, condamnés au RSA après une carrière complète du fait de la réforme des retraites.

4. Suppression des exonérations fiscales et sociales sur les heures supplémentaires

- Privilégier les créations d’emplois et l’augmentation des salaires.

186 millions d’heures supplémentaires au 2e trimestre 2011. équivaut à 400 000 emplois en rythme annuel. 3 milliards d’euros de perte de recettes pour la Sécurité sociale.

5. Stopper les suppressions d’emplois

- Orienter les investissements dans le développement industriel, la recherche et la préservation de l’environnement et créer les emplois nécessaires.
- Stopper la suppression d’un fonctionnaire sur deux et créer de nouveaux postes dans la fonction publique et les services publics, outils de cohésion sociale et d’efficacité économique et sociale.

6. Développer les politiques publiques et les moyens des services publics

- Education,
- santé,
- recherche,
- infrastructures…

7. Réformer la fiscalité en profondeur

- Accroître la progressivité de l’impôt sur le revenu et créer de nouvelles tranches pour les hauts revenus,
- augmenter l’impôt sur la fortune (ISF),
- supprimer les niches fiscales inutiles selon leur impact économique et social,
- soumettre à cotisation tous les revenus sans distinction,
- alléger les impôts indirects (TVA) qui pèsent proportionnellement plus sur les plus modestes,
- réformer l’impôt sur les sociétés en pénalisant le versement de dividendes et la spéculation pour favoriser l’investissement, l’emploi et les salaires,
- revoir la fiscalité locale afin de réduire les impôts et taxes sur les ménages à revenu modeste,
- réformer le financement de la protection sociale.

8. Créer un pôle financier public et établir un mécanisme de crédits à taux réduits

- Pour financer l’investissement productif : l’emploi, la formation, la recherche, les équipements.

En Europe et dans le monde

9. Taxer les mouvements spéculatifs de capitaux et éradiquer les paradis fiscaux.

10. Mettre en place un fond européen de solidarité sociale et de développement économique :

- Création par les états d’un fond, avec le concours de la Banque Centrale Européenne (BCE) pour financer le développement social et économique et réduire les inégalités.

Les états ont su créer un fonds de 750 milliards d’euros pour sauver les financiers.

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JOURNEE D’ACTION EUROPEENNE DU 29 FEVRIER 2012

A la veille du sommet européen, le monde du travail, les jeunes, les retraités, les privés d’emploi avec leurs syndicats ont agi ensemble et  adressent un message aux dirigeants de tous les pays européens

« TROP C’EST TROP !!! L’AUSTERITE ÇA NE MARCHE PAS »

 

En Europe, le monde du travail  a agi dans 29 pays à l’appel de la Confédération Européenne des Syndicats (CES).

En France, à 17h00, la CGT recense plus de 130 000 participants dans les 160 manifestations qui se sont déroulées dans le pays.130 manifestations avaient un caractère unitaire.

Les salariés français ont aussi donné un caractère européen à cette journée d’action en participant massivement aux initiatives transfrontalières. Ainsi, à Sarrebruck, 200 salariés ont manifesté avec les allemands. A Longwy, 500 salariés ont manifesté avec les belges et les luxembourgeois. A Strasbourg, le caractère franco-allemand de la manifestation avec la présence d’une délégation du DGB a mobilisé 800 salariés.

La participation à ces manifestations et aux arrêts de travail doit s’apprécier dans le contexte des vacances scolaires.

Le résultat parvenu à cet instant, témoigne de la volonté des salariés, des retraités, des privés d’emploi, de refuser les mesures antisociales et d’austérité.

La crise ne doit pas être le prétexte pour aggraver la situation économique, sociale en France et en Europe. Ce n’est pas aux salariés de payer la crise.

Des alternatives existent pour une Europe Sociale et Solidaire. C’est ce qu’ont rappelé les centaines de milliers de manifestants partout en Europe, rejetant toute fatalité.

Plus que jamais, dans cette période, la CGT continuera à occuper l’espace et à proposer au monde du travail, aux jeunes, aux retraités, aux privés d’emploi d’agir pour porter leurs revendications.

D’orès et déjà, des initiatives revendicatives professionnelles et interprofessionnelles sont en construction.

 

Montreuil, le 29 février 2012

 

Appel de la Commission Exécutive - UL Vallée de l'Huveaune - 29/02/2012

 

Les chefs d’état et de gouvernements européens s’apprêtent à signer le 1° mars prochain un traité élaboré à quelques-uns en dehors de toute consultation démocratique ( Tiens! Pas référendum prévu à ce sujet ?!)

Ce traité imposerait un carcan budgétaire et économique à des pays déjà durement touchés par le chômage et la récession.

 

Les syndicats de chaque pays européen réunis dans la Confédération Européenne des Syndicats, pour la première fois, appellent, ensemble, à agir le 29 février pour dire non à l’austérité et exiger des réponses pour l’emploi et la justice sociale.

 

Les syndicats de : Panzani, AFPA, la Poste, les cliniques Chantecler et 3 Lucs, les 3 peupliers, la Reynarde, l’Association l ‘Espoir, Géant Casino, Ville de Marseille, la Sécurité sociale, Orkyn, les Impôts, Hôpital Valvert et la section locale des retraités présents à la Commission Exécutive de l’U.L. réunie le 14/02/2012 appellent tous nos syndicats à décider dans chacune de nos entreprises le principe d’un arrêt de travail massif et de participation à la manifestation le 29 février.

 

 

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